Les jours se comptent et les illusions se répètent. Ce que l'on refuse de croire n'est pas un simple mirage. Je n'ai pas l'impression de vivre depuis un peu bon moment. Les images qui représente ma vie ne me semble qu'un souffle inexistant. Ça vous arrive n'importe quand alors que vous êtes dans un café que vous rêver ou assis bien confortablement dans son sofa. Cela nous perturbe nous fait perdre complètement la raison en nous vidant l'esprit de la raison. Des personnes si réels ...Des souvenirs ? où encore des cauchemars se bousculent dans votre tête. Quand cela se produit. Quand tout prend le contrôle de ma tête je ne peux m'empêcher de trouver refuge sur une feuille de papier. Les crayons s'affolent sur celle-ci qui était autrefois vierge et la transforme en une œuvre d'art. Oui en un magnifique dessin représentant une scène incertaine. Un scène brouiller et remplie de paroles qui me laissent là apeurer. Que pouvons-nous faire ? La réalité il a bien longtemps que je les lâcher. Cet impression de déjà vu ces choses qui font bondir mon cœur à des battements fous. Ces énigmes . De vrais casse-tête à vous retourner toujours les même questions en boucle dans une mélodie incompréhensibilité et d'une partie de nous même oublier. Peace prénom signifiant la «paix» . Je ne pourrais dire que mes pensées sont aussi paisible que mon prénom lui même encore mon visage pourrait démontrer le contraire. Bailee deuxième prénom et enfin mon nom Holm tirant de mon père devenu fous depuis mes huit ans. Étant schizophrène c'est seulement à partir de cet âge que son était c'est empirer on a du l'interner. Encore je ne le vois plus. J'ai peur de lui. Son âme me terrifie. Cette femme qui me sert de mère me fait vivre avec son mince salaire et son amour qu'elle me porte malgré son silence profond depuis tant d'année. Elle ne me pose pas de questions et ne me parle que des brefs moments. Son visage je ne l'ai aps vu illuminer depuis longtemps et elle se détruit de plus en plus en rendant visite à mon père. Née à Melbourne j'ai grandit sur cet île qui est l'Australie . Et puis-je être honnête j'ai toujours détester ce pays dans lequel j'ai dû vivre une grande étape de ma vie. Je ne me sentais pas à ma place tout simplement. Les gens qui me croisent dans la rue disent que je suis mystérieuse. Il vous faudra beaucoup de temps pour me tirer les verres du nez et de découvrir une partie de moi . Je suis muette comme une tombe que voulez vous. Mais encore j'adore observer les gens et les décoder par leur geste. J'ai fais peur à certaine personne plusieurs fois , car je les avais déchiffrer un peu trop facilement comme une bête qui rentre dans votre esprit et regarde vos moindres souvenirs. On dit que je souris trop parce que même quand je pleure il se trouve non loin au coin de mes lèvres. Peut-être une simple peur de montrer mes vrais sentiments. La plupart du temps je suis dans mon petit monde avec mes feuilles de papier dont un mur de ma chambre est tapisser. Je n'invite que très rarement une personne dans cette pièce , car je sais que je vais les terrifier avec ces images que je vois tout les jours et le besoin de l'immortaliser par des dessins. Je serais créatrice de bande dessiner ou créatrice de dessin animée pour enfant . J'étudie dans ce domaine. J'ai déménager à Santa Fe depuis mes dix huit ans sans dire un mot à ma mère. Pas une lettre rien. Je me suis dis qu'elle ne verrait même pas que ma présence à disparu de la maison. J'avais besoin d'aire frais. Alors que j’espérais mener une vie bien tranquille il y a cette Syuzanna qui est rentrer dans le décor. Des longues mèches couleurs blés. je venais à peine de la rencontrer et je sentais déjà qu'on était proche et je sentais le besoin de l'appeler Syuzi . Maintenant nous sommes des meilleure amie. Enfin des amie qui brise un peu les règle puisque qu'il nous arrive de nous retrouvez dans le même lit. Mais c'est à ces moments que j'ai des flash back plus précis . Des images qui me font plus peur et qui m'embrouille. Comme si nous étions déjà connu avant , mais d'une différente façon. Dans un tout autre contexte et d'une relation différente. J'ai ce dessin de deux adultes autours d'une table et nous deux je n'arrive pas à la déchiffrer et encore je n'ai jamais oser lui montrer. Je suis condamner à vivre dans des questions sans réponses.

Chicago Chicago la ville où j'ai expirer mon premier souffle. Enfin je n'aurai eu le temps que de vivre la petite enfance à cet endroit là. Quand j'ai rejoins la famille il avait déjà une autre petite fille qui avait fait sa place Syuzanna que j'ai toujours nommé Syuzi vu que j'avais bien dû mal à dire son nom jusqu'à mes neuf ans. Et pour tout dire la famille Holm était une famille bien complète un père photographe et une mère directrice d'un magasine de mode. Nous avons toujours appris à être ambitieuse c'est pourquoi mon rêve était tel devenir une architecte. Passionné de dessins je ne désirais pas me dirigée dans le domaine plus artistique ce métier me convenait parfaitement. Je ne me dirigeais pas comme ma sœur dans le domaine musical dont elle avait puiser son inspiration sur notre grand-père musicien à la retraite. Alors à l'âge de cinq ans je changeais de nationalité pour celle d'une Canadienne. Toronto me voilà. Encore à l'âge de tenir une peluche ou une poupée dans mes bras je n'avais pas trop compris pourquoi on avait du changer d'endroit , mais encore si il a bien une choses que je n'ai jamais eu du mal c'est bien de m'adapter à un nouveau milieu.

«Maman comment tu réagirait si je te disais que j'aime les filles aussi ?» . Ses prunelles s'agrandissent et son visage reste fade à ça et ne sait trop quoi dire et puis son rire éclate retentissant dans la cuisine suivit de mes sourcils qui se haussent. «Encore faudrait t'il que tu sois sérieuse.». Elle s'esclaffe encore plus et je ne peux m'empêcher de pousser un grognement et de pousser ma chaise qui frôle carrelage dans un sons sourd. Même quand j'essaie d'aborder les sujets sérieux il semblerait qu'elle ne peut me croire un instant. Alors que je passe la cadre de porte je l'entends dire de sa voix éclairée par la rigolade encore. « Ho aller ne le prend pas mal ma chérie » Comment pouvait-elle croire que je rigolais en disant une telle chose. Mon visage n'avait même pas broncher une seule seconde et j'avais tout défiler dans une voix sérieuse aucune de mes expressions n'avait broncher. Comment pourrais-je lui mentir sur cette fille. Son sourire si parfait et ses frissons qui hérisse ma peau d'une chaire de poule général. Son rire qui réchauffe mon corps à tout moment. Elle est un phénomène inexplicable.


Son nom se composait de 4 lettre seulement. Abby. Un simple nom qui pouvait me retourner l'estomac complètement à l'envers. Des tremblements par millier j'avais dû mal à me tenir sur mes deux jambes par moment. Étendu là dans l'herbe dans nos esprit rêveur elle me faisait rire. Ses mèches rousses dégageait une odeur divine venant chatouiller mes narines dans l'aire de l’automne . Encore dans une de ces robes d'été on aurait dit une vraie enfant à certain moment. Son visage éblouissant j'en devenais dingue. « Les nuages c'est fabuleux on y trouve tout sorte de formes» Elle me faisait voguer sur son imagination bien fertile digne d'un enfant. Je ne pourrais jamais expliquer le courant des choses que cela nous donne depuis un bon moment. Encore perdu dans notre moment de bonheur nous n'avions pas remarquer les nuages grisâtres. Les gouttelettes tombèrent sur nos visages et glissèrent lentement le long de nos joues. Encore ce n'était qu'une simple pluie , mais l'averse arriva. Sa main attrapa la mienne me tira contre mon gré vers un endroit à l’abri. Notre cachette ne fut que l'une autre que des grandes branches d'un sol qui ne coupait pratiquement de la pluie. Mes doigts fins vinrent s’emmêler dans ses parfaites boucles qui s'était rabattu sur son visage. Je pris soins de les passer derrière son oreille. Mes lèvres timides vint se poser sur les siennes . Sensation parfaite d'une douce chaleur elle ne me repoussa pas à ma grande surprise. Lorsque que le baiser prit fin son visage se baissa décorer d'un parfait rouge cerise sur ses pommettes et rit doucement avec un sourire bête. « Je dois y aller ...» . Elle partir en courant sous le rideau de pluie en prenant soins de regarder une dernière fois derrière avec un sourire des plus radieux.


« Je suis amoureuse ...Je suis amoureuse !».Syuzanna assise sur son petit perchoir qu'on appele un comptoir d'un cuisine une assiette de crêpe à la main des yeux rond et un sourire coquin en coin de bouche. Âgée de deux ans plus de vieux que moi elle est ce qu'on appelle ma sœur. En disant tout haut cette phrase de mon esprit je ne pourrais être à l'abrie de nombreuses questions. «De qui ?». Je secouais déjà la tête en guise de réponses. Son sourire s'agrandissait sur ses lèvres et puis je me sentais déjà légèrement menacer. Ne me sentant pas d'attaque à répondre ou simplement l'impression d'être prête je filais dans le salon à grande enjamber. Je la sentis qu'elle me poursuivait déjà. Je sautais sur le sofa me roulant en petite boule . « Non je ne parlerai pas ! » Encore cela ne l’arrêtait pas. J'aurais beau hurler rien ne broncherait. Elle se mit à ma torturer de chatouille. Me tirant des éclats de rire et des tortillements dans tout les sens pour essayer de me débattre. « Tu vas parler !».. Malgré toute la torture que j'avais pu subir j'étais rester fermer comme une huitre. Je ne lui avais rien dit , mais cela n'avait pas pu empêcher que la matinée avait été des plus drôles. Des chatouilles puis ensuite des petits câlins pour se faire pardonner. Je n'avais jamais vraiment eu de problèmes avec ma sœur. Ma grande complice que personne n'aurait pu remplacer.