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 Syuzanna ★ J'aurais aimé t'écrire le plus des poèmes et construire un empire juste pour ton sourire.

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Syuzanna ★ J'aurais aimé t'écrire le plus des poèmes et construire un empire juste pour ton sourire.  Empty
MessageSujet: Syuzanna ★ J'aurais aimé t'écrire le plus des poèmes et construire un empire juste pour ton sourire.    Syuzanna ★ J'aurais aimé t'écrire le plus des poèmes et construire un empire juste pour ton sourire.  EmptyMer 10 Aoû - 22:54



→ syuzanna (ellinore) holm
né(e) le 02/04/1989 à liverpool ; Bisexuelle ; Passé simple ; Juno Temple.

“ La vie ne vaut d'être vécue sans amour. ”

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]


→ this life is yours.


histoire&caractère du personnage qu'il vit depuis l'incident → 30 lignes minimum. un petit conseil pour le caractère : n'oubliez pas sa réaction face à l'incident ♥

→ past is a bitch sometimes.


Je ne sais pas réellement comment toutes ces choses sont arrivées aussi vite, je ne me rappelle plus de grand chose. Je sais que j'habitais à Toronto au Canada à partir de mes sept ans. Seulement, avant de vivre dans cette ville, je n'ai que des souvenirs vagues à l'époque où j'avais encore comme refuge un petit appartement à Chicago. Je me souviens que c'est là-bas que je me suis bien occupée de ma sœur Peace qui est née deux ans après moi. J'avais beau n'avoir que cinq ans à sa naissance, j'adorais la prendre dans mes bras et lui donner le biberon avec l'aide de la main de ma mère. Dans ce genre de moments, j'échangeais des regards avec ma génitrice avec un grand sourire au coin des lèvres. C'était joli à voir. C'était la joie, le paradis, l'insouciance d'être encore un enfant. Mais il faut bien que cette enfant grandisse à un moment donné, raison pour laquelle ces sourires échangés, ils changèrent petit à petit. Tout d'abord, je me dépêtra de cette nationalité américaine que je haïssais tant, dans le but de devenir une vraie canadienne. Si nos parents avaient décidé de déménager, ce n'était bien entendu pas pour rien. La petite Peace devait avoir une chambre désormais, c'était assez qu'elle dorme encore avec le couple alors qu'elle avait quatre ans, cependant ma chambre était bien trop petite pour recueillir quelqu'un d'autre, c'est pourquoi ils ont pris l'initiative de changer d'habitation. Pourquoi le Canada ? Pourquoi Toronto exactement ? Pour trois raisons. La première est qu'ils ont toujours rêvé d'habiter là-bas, la deuxième est que les propres parents de ma mère se trouvaient là-bas et que je ne les avais vus qu'en étant bébé, occasion donc de les rencontrer, mais aussi car mon père avait été transféré dans une autre agence de photographe se trouvant justement à Toronto. Enfin transféré, ce n'était pas un colis mon père ou un dossier non plus. C'est juste qu'il manquait de place dans son ancien travail et son directeur ne désirait pas le rendre au chômage étant donné qu'il était doué, il lui a donné la chance d'aller autre part tout en gardant le même emploi. Heureusement qu'il n'ait pas du changer de métier, sinon on aurait trouvé notre père déprimé à chaque fois qu'il rentrerait le soir. Parce que pour rien au monde il aurait changé son boulot de photographe, qu'il me disait toujours quand je lui posais des questions, une fois assise sur ses genoux. Il me caressait les cheveux, me disait tout le temps que ça a toujours été son rêve, qu'il s'était battu pour devenir ça face aux études mais aussi à ses parents qui n'avaient jamais voulu qu'il soit un pauvre photographe, et qui lui avaient d'ailleurs promis un bel avenir : médecin, chirurgien, un métier dans ce genre, un métier qui ne lui convenait pas. Alors quand je l'écoutais, je me disais que, moi aussi, je ferais ce qui me plairait prochainement.

Dès notre premier jour à Toronto, je m'y plaisais déjà énormément. Ce n'était pas grâce à ce ciel bleu, ses nuages formant de diverses choses, l'herbe verte qu'il y avait dans notre immense jardin, le parc de jeu juste en face de chez nous, le fait que j'avais enfin vu mes grands-parents. Oui, ça faisait partie de ma grand joie d'être ici, mais le pourquoi du comment j'étais très heureuse, c'est que j'avais rencontré ce garçon. Il s’appelait Ringo mais il préférait Theodore, qu'il m'avait dit dès le premier jour. Pourtant, je ne comprenais pas, je l'aimais bien moi, son premier nom. Ringo. Ringo. Ça sonnait bien, puis c'était joli. Ce n'était pas pour l'embêter que par la suite je le surnommais ring, ou l'appelais du nom qu'il détestait. Alors même après qu'il m'ait dit ça, je lui ai déclaré "Allons dans ma chambre Ringo, le paradis du jouet est chez nous". Et directement, nous avons eu ce secret en commun : celui de mon armoire où étaient entreposés tous mes jouets. Maintenant, étant plus grande, je peux affirmer que comme début de relations, c'était certes bêtes, mais la naïveté et l'insouciance chez l'enfant joue tellement. Nous nous sommes connus d'une drôle de façon, nous nous sommes unis d'une drôle de façon, nous nous ne sommes plus quitter d'une drôle de façon. Tout était drôle finalement, dans notre relation. Comment nous avions pu nous entendre ainsi grâce à un secret aussi puérile ? Alors en y pensant, je ris. Parce que c'est tellement habituel désormais, que nous fassions des choses imprévisibles, impensables et hors du commun avec ce bout de chou. Ringo et moi, c'est une amitié que personne ne trouvera autre part. Vous vous rendez compte ? C'est parti d'un rien pour finir avec un tout. Parce que Ring' est mon tout, il est moi, je suis lui. On ne forme qu'un, selon moi. Depuis ce jour, rien ne nous a séparé. Je ne me souviens même pas d'une seule engueulade. Je sais juste que depuis que Ringo est venu chez moi accompagné de ses parents afin de nous souhaiter la bienvenue, que je lui ai tendu la main dans le but de partager mon univers rempli de jouets avec lui, qu'il m'ait accueilli comme il se doit, depuis ce jour, nous avons toujours fait la route ensemble pour faire le chemin jusqu'à l'école, même quand nous avons grandi. Pour vous dire, je ne me rappelle pas d'une seul moment où nous n'étions pas ensemble. Du moins, nous étions une grande partie toujours fourrés ensemble, c'était assez impressionnant, et c'est toujours le cas d'ailleurs. Maintenant que nous sommes devenus adultes, je peux vous certifier que c'est toujours la même chose entre nous. On s'invite souvent l'un comme chez l'autre tous les week-ends, parfois tous les soirs quand nous sommes en période de vacances, et pour rien au monde je voudrais changer ça. Voyons donc ! Ringo est mon meilleur ami depuis mes 7 ans, j'en ai désormais 22. Un rapide calcul qui vous permet de conclure que ça fait une éternité que nous traînons aux côtés de l'autre, n'est-ce pas merveilleux ? Et pas un seul jour j'ai pu avoir un sentiment de haine envers lui, ou même une envie de l'abandonner. Jamais. J'ai toujours voulu être près de lui jusqu'à ma mort, et ce depuis que je l'ai rencontré. C'est tellement beau que rien n'est changé dans notre relation. Parce que même si nos caractères ont été transformés depuis, nos discussions, notre amitié, rien de tout ça n'a été bouleversé.

Entre temps, je voyais aussi mon grand-père. Parfois les grands-parents, nous ne les apprécions pas comme il le faudrait, ou nous n'avons aucun point commun, aucun même centre d'intérêt avec, ce qui est difficile à vivre. Cependant, mon papi était le plus ronchon, le plus grincheux, le plus râleur, le plus tout ce que vous voulez, que j'ai pu connaître. Mais avec moi, c'était aussi l'homme le plus adorable. C'était un papi, mais pas seulement ça. Dès mes sept ans, je n'arrêtais pas de l'écouter longuement faire de la musique avec son piano. Je me tenais dessus, je voyais ses doigts tapoer les touches d'une vitesse qui me faisait sourire. Parfois il connaissait tellement le morceau par cœur, qu'il n'avait pas besoin de suivre les notes, il fermait les yeux de sa tête ridée et quittait ce monde en un rien de temps. Il m'impressionnait, je l'idéalisais d'ailleurs comme l'homme le plus parfait qu'il puisse exister sur Terre, suivi de Ringo. Sa musique était magique. Elle me transportait loin. D'autres fois, quand une note ne lui parvenait plus, il rouvrait doucement les yeux et de mes pieds, je lui cachais son cahier afin de l'embêter un peu. Alors, dans ce genre de moments, il m’attrapait et pour je ne sais quelle raison, me mettait sur ses genoux, prenait mes mains et me fit jouer comme une vraie artiste. Ce que je ne comprenais pas, c'est qu'il n'avait jamais essayé de faire un CD. « Je suis trop vieux. » qu'il me répondait dès que je lui avais demandé, vers mes dix ans. Ce à quoi j'avais répondu : « Vieux ? Mais Papi, je le créerais ton CD quand je serais forte dans le domaine ! Je te le promets ! » Je crois que c'est depuis ce jour que j'ai tant voulu être directrice d'un label. Une fois le lycée terminé, j'étais donc dans l'obligation de suivre des études d'administration en université , vous comprenez ? Je ne pouvais pas ne pas accomplir cette promesse, étant donné qu'elle était très importante pour moi. Et même si depuis que j'allais en université et que Ringo restait dans notre appartement à progresser dans son talent de musique, que nous n'allions désormais plus à l'école ensemble, nous étions toujours aussi proches, tellement que nous sommes devenus colocataires. La belle vie quoi, du moins c'est ce que je croyais jusqu'au moment où mon papi, l'homme de ma vie, fut décédé de vieillesse. C'est vrai qu'il se faisait vieux, que je l'imaginais comme le superman même si j'avais encore vingt ans. Pour moi, il allait vivre jusqu'à ma mort. Je ne sais pas pourquoi j'ai cru à une telle chose, je savais cela, qu'il allait mourir un jour. Mais j'espérais tous les jours que je n'eus pas à voir sa mort. J'ai été traumatisée, j'ai été déprimée, j'ai pleuré, je n'ai pas dormi des nuits entières, je faisais des crises, je suis tombée dans une longue déprime.

Spoiler:


→ behind the sreen
[Seuls les administrateurs ont le droit de voir cette image]
→ pseudo - Meuh
→ âge - 15 ans
→ présence - 7 sur 7 jours
→ commentaire - Concombre, chocolat, vache. Je vous aime tiens, bande de patates. ♥
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